- Kimya Magazine
- Kimya veut dire « sérénité», il est le premier magazine Afro, ouvert sur le monde et qui apporte la diversité manquante dans les magazines belges... Un magazine tendance, moderne, socio-culturel tourné vers le futur et la réalité de la mixité culturelle caractérisant la Capitale Européenne et les principales villes de Belgique.
mardi 19 avril 2011
Cilou Annys en cover du Kimya
vendredi 1 avril 2011
BOHO CHIC : nouveau Look Printemps 2011 d' IMAN Cosmetics.
Rhode Bath-Schéba Makoumbou expose au Canada
Rhode Bath-Schéba Makoumbou est née le 29 août 1976 à Brazzaville en République du Congo. Depuis sa tendre enfance, elle a été initiée à la peinture par son père, le peintre David Makoumbou. Elle s’est réellement engagée dans l’art à partir de 1989. À travers ses Œuvres, ce sont surtout les activités sociales de la femme africaine qui sont mises en valeur.
Dans les peintures à l’huile, elle peint généralement au couteau. La variété de ses toiles s’illustre dans un style nettement africain (à partir de l’art statuaire traditionnel), mais également influencé par les courants de l’art réaliste, expressionniste et cubiste.
Depuis 2002, Rhode Makoumbou a créé de nombreuses sculptures en matière composée (sciure et colle à bois sur une structure métallique) représentant les métiers des villages qui tendent à disparaître. Certaines ont plus de trois mètres de haut !
Elle se considère un peu comme une artiste archiviste de la mémoire sociale et culturelle de l’Afrique en général, et du Congo en particulier. Elle s’exprime souvent dans ses interviews sur le respect des notions idéologiques de l’identité et de la diversité culturelle. Elle a toujours accordé une grande importance à la question du sens dans l’art et du rapport entre l’artiste et son public.
À partir de 2003, Rhode a entamé une importante carrière internationale, et expose maintenant dans le monde entier.
pour plus ici
jeudi 24 mars 2011
LES RACINES BANTOUES DU LATIN.
Ainsi, Melo Nzeyitu Josias , l'auteur, défend la thèse selon laquelle le latin aurait puisé dans le lexique des langues bantoues, comme le Kongo. Le latin étant une langue morte, il explique qu’il élimine par là l’hypothèse que l’échange se soit fait au moment de la colonisation.
Selon lui, Lingua en latin et ndinga en kongo (les deux mots signifiant langue) sont des mots apparentés . Cet emprunt se serait effectué il y a très longtemps quand les Africains parlant le Bantou habitaient « dans des régions où se trouvaient les ancêtres des romains qu’on appelait les étrusques ». Sa thèse s'appuie sur des recherches savantes attestant d'une présence noire à cette époque (des siècles avant Jésus Christ) en Mésopotamie.
Il est aussi l'auteur du livre Jésus Christ l'Africain.
Les racines bantoues du latin (vendu 15 euros) à la librairie de l'Unesco, 7 place de Fontenoy à Paris.
mardi 8 mars 2011
A l'écoute du temps : Un voyage musical pour les enfants et les adultes !
« C’est nul, Papa !
- Ben oui, mais c’est comme ça.
- Nous on pourrait faire mieux. »
Et voilà comment, après avoir pris l’avis de ses enfants au pied de la lettre, Zaf s’est lancé dans ce projet de « voyage musical », qui mêle lecture, musique, culture et métissage. Le but de ses projets est simple : laisser à ses enfants un héritage culturel digne de ce nom !
dimanche 27 février 2011
La griffe L.A.M.B de Gwen Stefani.
mercredi 23 février 2011
Black Diamond à la CINEMATEK.
MANGO Touch AFRICA !
BEYONCE en couverture de L'Officiel Paris.
lundi 21 février 2011
La huitième vibration de Carlo Lucarelli
Carlo Lucarelli traduit de l'italien par Serge Quadruppani, LA HUITIEME VIBRATION, Edition Métailié, 414 p., 22 euros.
vendredi 11 février 2011
V-Day : Inauguration de La Cité de la Joie.
jeudi 10 février 2011
Et...Le menu St Valentin de Dhuama Traiteur.
Notre déco Saint Valentin...
The Black Allure, Vogue Italie février 2011
THE BLACKALLURE: VOGUE ITALIA / MODELS.COM BACKSTAGE EXCLUSIVE from models.com on Vimeo.
mercredi 9 février 2011
Walter Van Beirendonck Automne Hiver 2011-2012
Première cérémonie des Magritte du Cinéma.
A Bruxelles, au Square du Mont des Arts, c'était "The Blue Carpet" ! On a déroulé le tapis bleu pour la crème du cinéma belge francophone.
Dix-huit prix étaient en jeu. Ces prix récompensaient les films belges reconnus par la Communauté française et sortis dans les salles belges entre le 1er janvier 2009 et le 30 septembre 2010.
La sélection des films, documentaires, acteurs et actrices,…qui concourraient a été réalisé par les membres de l’Académie André Delvaux.( Voir ici )
La cérémonie était retransmise en direct par la chaîne Betv . Elle était présidée par le réalisateur Jaco Van Dormael et présentée par l’actrice et réalisatrice Héléna Noguerra , qui au départ portait une moustache et nous a par ailleurs démontré un certain talent humoristique.
Parmi les personnalités à avoir foulé le tapis bleu samedi soir, on remarquait notamment Benoit Poelvoorde , François Damiens et Edouard Baer qui ont aussi fait leur show !
On peut citer d'autres célébrités, comme les frères Dardenne, Jean-Claude Van Damme, Pascal Duquenne, héros du Huitième Jour, Bernard Yerlès, Jonathan Zaccaï mais aussi le prince Laurent et la princesse Claire.
Etaient aussi présent des politiques, ainsi la ministre en charge de la Culture et de l’Audiovisuel en Communauté française, Fadila Laanan, Didier Reynders, Rudy Demotte…
Au final, on a assisté au triomphe de Mr. Nobody avec six trophées sur dix-huit, un film de Jaco Van Dormael, qui présidait par ailleurs la cérémonie.
L'oeil d'Afrikavision a remarqué l'absence de la diversité en la non représentation du cinéma francophone d'Afrique qui pourtant coproduit avec le cinéma belge. On pourrait citer " Un Homme qui Crie " de Mahamat Saleh Haroun, prix du Jury à Cannes et film fort bien acceuillit un peu partout dans les salles… ( Voir ici )
Un premier essai à suivre !
Le palmarès :
MEILLEUR FILM : « Mr. Nobody » (Toto and co – Olivier Rausin)
MEILLEUR REALISATEUR : Jaco Van Dormael pour « Mr. Nobody »
MEILLEURE COPRODUCTION : « Looking for Eric » (Les Films du Fleuve – Jean-Pierre et Luc Dardenne)
MEILLEUR SCENARIO ORIGINAL : Jaco Van Dormael pour « Mr. Nobody »
MEILLEURE ACTRICE : Anne Coesens dans « Illégal »
MEILLEUR ACTEUR : Jonathan Zaccaï dans « Élève libre »
MEILLEURE ACTRICE DANS UN SECOND RÔLE : Christelle Cornil dans « Illégal »
MEILLEUR ACTEUR DANS UN SECOND RÔLE : Jan Decleir dans « Les barons »
MEILLEUR ESPOIR FEMININ : Pauline Etienne dans « Elève libre »
MEILLEUR ESPOIR MASCULIN : Joffrey Verbruggen dans « La régate »
MEILLEURE IMAGE : Christophe Beaucarne pour « Mr. Nobody »
MEILLEUR SON : Benoît Biral, Valene Leroy, Julien Paschal, Fred Piet et Franco Piscoppo pour « Panique au village »
MEILLEUR MONTAGE : Matyas Veress pour « Mr. Nobody »
MEILLEURS DECORS : Eric Blesin et Marc Nis pour « Panique au village »
MEILLEURS COSTUMES : Christophe Pidre et Florence Scholtes pour « Soeur Sourire »
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE : Pierre van Dormael pour « Mr. Nobody »
MEILLEUR COURT METRAGE : « Nuit blanche » de Samuel Tilman
MEILLEUR DOCUMENTAIRE : « Les chemins de la mémoire » de Jose Luis Penafuerte